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Henri-Vidocq Beylier de Lévesque, aussi connu comme Le Parfait Imparfait, Henri la Plume, est un homme de lettres, romancier, philosophe, idéologue et ancien homme de politique tirasien, longtemps voué aux œuvres de l'érotisme, associé à des actes impunis de violence et de cruauté.

Il est un célèbre auteur tirasien, connu pour écrire de nombreux romans pour enfants célèbres et populaires, des récits historiques, des biographies ainsi qu'un article hebdomadaire dans les journaux locaux.

Histoire[]

Né à Boralus, il était le fils d'un chirurgien, un métier modeste à l'époque. La famille a déménagé plusieurs fois à mesure que Henri grandissait, son père sourd cherchant de meilleures perspectives de travail. Sa mère travaillait comme couturière. Henri a mené une vie d'enfant typique et sans histoire à Kul Tiras. Il a eu la chance d'avoir une éducation, ou même avoir une place, dans l'Académie Portvaillant où il a étudier la rhétorique et le droit avec son frère aîné. Mais à la mort de son frère à l’âge de 20 ans, Henri a abandonné ses études, ainsi que les espoirs de son père pour la carrière politique de l’adolescent, pour devenir poète… et amoureux.

Insatisfait du poste judiciaire mineur que son père lui avait assuré, Henri abandonna la loi et dirigea son attention vers la poésie. Il a suivi avec volonté la poésie d'amour, et rentra une nouvelle fois à l'Académie Portvaillant, où il a appris et obtenu un diplôme en littérature avancée et les arts.

Dans sa jeunesse, il a voyagé aux Royaumes de l'Est et en Pandarie gaspillant sa fortune familiale jusqu'à rentrer chez lui. Il a commencé à écrire de la prose, qu'il a montrée à divers seigneuries de Kul Tiras dans le vain espoir d'être employé comme scribe à la cour. Ses écrits venant de ses expériences de vie et plusieurs de ses œuvres célèbrent la joie de boire. Bien sûr, il a également écrit sur l'amitié, la solitude, le passage du temps et la beauté du monde naturel.

Prouvant que la persévérance est une nécessité, vers ses vingt-cinq ans, il pris la plume de l'auteur et a écrit son premier livre, Le Loup et le Rôdeur Vert, qui était une histoire d'enfants romantisant les vastes bois brumeux de Drustvar et plongeant dans la dure vie des chasseurs et gardes qui les habitaient. Il a aussi écrit des tragédies et des comédies qui capturent une gamme de l'expérience humaine - la cupidité, la luxure, le sang, l'ambition, la trahison et la vantardise.

Marié trois fois et divorcé deux fois avant l'âge de trente ans, il a engendré un enfant.

Pour passer le temps et laisser libre cours à ses notions romantiques, Henri a commencé à écrire des histoires - éventuellement des romans - dans une série de cahiers. Il a produit des poèmes atmosphériques et des histoires de mystère et d'horreur. Ajustement, car sa propre vie était remplie des deux pendant ce temps. Mais il n'est pas resté au sujet de l'amour non partagé et de la tragédie romantique; plusieurs de ses poèmes faisaient la promotion des idéaux libéraux, de la liberté politique et d'autres sujets controversés.

Après avoir été emprisonné, à cause de sa poésie parmi les journaux rebelles, il fut libéré et interdit de tout rôle actif dans la politique.

Les jours vides de Henri lui ont donné l'occasion de lire l'histoire d'Azeroth, de méditer et d'écrire des pièces de théâtre. Mais le prolifique Henri n'a pas respecté les conventions dramatiques de son temps, car il a librement représenté des scènes de sommeil, de bataille, de mort et de meurtre sur scène - toutes choses que les seigneuries considérait comme inappropriées pour une exposition publique. Son style était vigoureux, dramatique et direct, sans ostentation excessive, contrairement à d'autres dramaturges.

Pendant une soirée d'un capitaine, Henri était ivre sur le navire, il a essayé de saisir le reflet de la lune dans l'eau et est tombé par-dessus bord.

Personalité[]

Infaillible. Calme. Fidèle. Ce sont les trois mots qui le désignent le mieux, rien ne lui fera trahir ses vœux. Rien ne saurait le faire céder, pas même la mort. Il aurait beau être à terre, au seuil de la fin de sa vie, il continuera coûte que coûte de défendre ce pourquoi il a choisi de se battre. Il cherche toujours à être au milieu du peuple, et laisser traîner ses oreilles pour être au courant de tout, car Henri est toujours aux aguets. Il ne ratera pas une occasion de pouvoir se mêler à une discussion ou à s'engager dans une aventure si cela peut lui permettre d'avoir des choses à raconter. Simplet, il se contente de choses simples. Le luxe n'est pas pour lui, et il évitera de fréquenter des gens de trop hautes naissances.

En dépit de l'ambiguïté souvent inhérente aux croyances de l'homme, plusieurs éléments de son idéologie sont clairs: il est un fervent défenseur de l'industrialisme, de la tradition et de l'utilitarisme, ainsi qu'un ennemi résolu de l'aristocratie et des richesses foncières.

Description Physique[]

Il est un humain mince, quelques cicatrices marquent son corps retraçant quelques combats d'escrime, ses cheveux noirs sont coupés court signe distinctif d'un homme d'haute estime, sa barbe quant à elle ne semble pas avoir été rasée et donne un aspect plus brute au personnage. Les grands yeux émeraudes de l'homme surmontés de sourcils épais scrute les pirates d'un mauvais regard leur inspirant la peur et le respect. 

Henri est l'un de ces tirasien pauvre et simple. Portant un long manteau de queue avec un pantalon qui aurait déjà vu de meilleurs jours, il ressemble souvent à un tirasien moyen, même avec ses accents épais. Avec les vêtements, il est bien connu pour porter un livre et une petite fleur avec lui partout où il va, symbolisant son métier et ses amours.

Citations[]

"Chaque histoire connais ses virgules, ses points. Ses hauts et bas. Mais aucune histoire n'est mal écrit. Chaque expérience a fait de vous ... vous." - S'exprimant ouvertement à Urubu Aura.

"L'écrivain de vôtre livre viendras un jour rendre vôtre histoire les couleurs qu'elle mérite." - Parlant avec Urubu Aura.

"Tant que cela vient du coeur, cela reste la plus grande beauté du monde." - en parlant avec Adhonis de Falcon sur ses escultures de bois.

"Liberté d'esprit n'a pas de prix, mon ami." - en discutant avec Adhonis de Falcon

"Je sais que la perfection est loin de mes capacités. Soyons sincère, comme un être si imparfait pourrait devenir parfait ?" - En parlant de rêve avec Salen.

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